Le harcèlement en public, un fléau qui affecte physiquement et mentalement les femmes
Le harcèlement de rue ou en public est présenté comme une intrusion d’un étranger, ce qui permet de reconnaître et de rendre compte avec plus d’exactitude des préjudices potentiels causés aux survivants du harcèlement. Il faut cependant souligner la nature omniprésente du harcèlement dans les rues de France, que subissent au quotidien de nombreuses femmes, https://jean-jaures.org/nos-productions/les-francaises-et-le-harcelement-dans-les-lieux-publics.
Bien que la plus part aient des difficultés ou plutôt peur de porter plainte, il n’en ai pas moins qu’il y a des préjudices émotionnels et physiques quotidiens négligés, qui leurs sont infligés dans les espaces publics aux groupes marginalisés. Cette action à pour don d’affecter le bien-être physique et mental de nombreuses françaises, les plongeant souvent dans un état de psychose qui affecte leur santé mentale.
Les formes de harcèlement qui existe en public
- Commentaires sexuellement explicites, racistes, capables, transphobes et autres commentaires désobligeants
- Commentaires importuns sur votre apparence, votre accent, votre sexualité, etc.
- Lorgner, faire des gestes vulgaires, te montrer ou s’exposer.
- Menacer d’enlever un vêtement, par exemple votre hijab
- Prétendre que vous n’avez pas le droit d’être dans un espace public
- Bruits de sifflement, d’aboiement ou de baisers
- Vous suivre ou bloquer votre chemin
- Attouchements ou attouchements sexuels
- Masturbation publique
Il est important de savoir les moyens de guérison et la signification possibles du fait que le harcèlement de rue et le changement de nom peuvent offrir aux survivants d’un tel harcèlement, ce qui contribue à perpétuer de tels actes, les recours pour les survivants et le rôle des intervenants et des spécialistes de la famille dans la lutte contre les origines et les effets du harcèlement de rue et public. Comprendre les méfaits de l’intrusion d’un étranger implique de travailler au changement social afin de non-normaliser l’intrusion d’un étranger, de faciliter la guérison et de travailler avec les agresseurs pour accroître la responsabilisation.